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Immense chanson de Stealers Wheel, Stuck In The Middle With You, nettement plus connue depuis que Quentin Tarantino l'a utilisée dans une des plus grandes scènes de son Reservoir Dogs. Chanson imparable des années 70.

Cinquième chanson de Disintegration, voici Last Dance, de The Cure, une de mes préférées de l'album de 1989. Hélas, ce clip propose une version plus courte de 1 minute que la version album...

Lovesong, quatrième chanson de Disintegration, un des plus gros tubes de The Cure !

Voici Closedown, troisième chanson de Disintegration de The Cure. Clip live, faute de mieux...

Voici Pictures Of You, seconde chanson de Disintegration de The Cure. Encore une merveille ! En revanche, comme je ne veux mettre que des clips studio, je n'ai hélas trouvé que la version courte (2 minutes de moins)...

Première chanson du cycle The Cure/Disintegration (l'ensemble de l'album, dans l'ordre), voici Plainsong. Pure merveille.

Voici l'hymne très festif et agréable du Fc porto, une chanson qui met la pêche surtout quand elle est entonnée par 50000 supporteurs dans le sublime estadio do dragao. Pour l'avoir vécue et chantée dans le stade, je peux vous dire à quel point cette chanson met de bonne humeur. Chantée ici par les joueurs(les plus footeux d'entre vous reconnaîtront Vitor Baia, Ricardo Costa, Jorge Costa et même José Mourinho), leurs familles et le staff du club, c'est une chanson réellement revigorante. O hino do Futebol Clube do Porto!

Et ce sera le dernier billet du cycle consacré à l'album Superunknown avec un titre pour le moins efficace, Mailman. Eelsoliver

Extrait du second album de Chicago (Chicago II, ou Chicago tout court), voici 25 Or 6 To 4, excellente chanson à la croisée des chemins entre pop, rock et jazz. J'adore !

Voici Driven To Tears, une de mes chansons préférées de The Police, extraite de Zenyatta Mondatta, leur troisième album (1980). Une chanson à la fois pop et reggae, sur laquelle la guitare d'Andy Summers, la batterie de Stewart Copeland, et la basse et voix de Sting font des merveilles, quelle synchronisme !