
Fin du petit cycle consacré à Kevin Coyne. Je ne le termine pas avec n'importe quel album, mais avec un album qui sera, je pense, tout sauf de la petite bière à chroniquer, surtout qu'en plus, on trouve relativement peu d'informations pertinentes et utiles sur Coyne et ses albums sur Internet (c'est pas un artiste avec l'aura médiatique de Dylan ou Clapton, c'est clair). On avait laissé Coyne, l'autre jour, avec l'excellent Millionaires And Teddy Bears de 1979, album qui, sous sa pochette enfantine, offrait de grands moments, comme...
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