
Le cycle Catherine Ribeiro + Alpes se poursuit tranquillement. Mine de rien, c'est ma seconde chronique principale du cycle (en fait, j'avais déjà abordé, en 2015, l''album suivant, que je rechroniquerai pour l'occasion dans quelques jours, mais bon...), mais la cinquième dans l'ensemble. On avait quitté Ribeiro et son groupe en 1972 avec Paix, un album tout simplement monumental, quintessentiel, certes pas super facile d'accès (pléonasme, euphémisme, litote...choisis, c'est pour moi), mais réussi du début à la fin. Bon, en même...
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