
Avec cet article prend fin le cycle consacré aux albums de Mark Knopfler en solo (depuis le temps que je voulais en parler...). Ce fut un cycle, je trouve, assez passionnant, non pas que mes chroniques l'étaient (encore que je ne pense pas les avoir foirées, sauf à la rigueur la précédente, pour Tracker), mais parce que les albums, eux, l'étaient, dans l'ensemble, passionnants. On ne peut pas dire que Mark Knopfler en ait foiré un, tout au plus son opus de 2007, Kill To Get Crimson, est inégal, et Privateering, celui de 2012, trop...
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