
Vous le savez, Elton, j'adore son boulot dans les années 70. Sauf la toute fin (1978, 1979). A partir des années 80, je décroche totalement. 21 At 33 ? Non merci, sauf un titre ou deux. Ice On Fire ? Pareil. Breaking Hearts ? Tu déconnes, ou quoi, vire-moi ce disque de dessous les yeux avant que je me pète un câble. Mais il y à bien un album que, dans ma grande mansuétude (tremblez, mortels, contemplez mon oeuvre et désespérez, ah ah ah ah aaaaaaaah...hum), et en grande, essentielle partie grâce à Nono, qui vient ici...
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