
On a quitté Jean Ferrat, hier, sur un album majeur, Nuit Et Brouillard, un disque certes ultra court (comme c'est un 33-tours au format 25 cm, forcément, la durée est rikiki), 21 minutes, mais offrant un lot de classiques, et notamment la terrible chanson-titre, sombre et sobre chanson sur les victimes de la "Solution Finale". Mais on trouvait aussi, sur ce troisième album de Ferrat (et son premier chez Barclay, chez qui il restera 10 ans), A Brassens, C'Est Beau La Vie, Nous Dormirons Ensemble, bref, la moitié de l'album, qui ne...
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