
On approche dangereusement de la fin du cycle Al Kooper, encore deux articles dont celui-là, et c'est fini. On avait laissé le bonhomme en 1970 avec un double album certes très court (deux vinyles, OK, mais seulement 62 minutes), mais franchement remarquable, probablement même son meilleur album solo, Easy Does It. Quand je dis "meilleur album solo", c'est donc sans comptabiliser le premier Blood, Sweat & Tears et les deux albums (un studio, un double live) faits avec Mike Bloomfield (et Stephen Stills, Elvin Bishop...). Non, je...
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