
Tranquillement, la série d'articles consacrés aux albums de Georges Brassens, suit son cours. Nous en arrivons maintenant au septième album du moustachu, paru en 1960. Tout comme les précédents, l'album tire son nom de sa première chanson. Et, tout comme les précédents, en terme de longueur, c'est très maigre : près de vingt-trois minutes. Si vous avez suivi depuis le début, vous savez pourquoi. Huit chansons sont ici au programme et, on va voir qu'encore une fois, nous n'avons pas le droit à un immense cru Brassensien.
L'album est...
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