13 septembre 2010

Pour achever ce petit cycle des mauvaises chansons de Maiden, voici The Angel And The Gambler, de 1998, issue du pire album studio du groupe, Virtual XI (deuxième et dernier avec le chanteur Blaze Bayley). La chanson est trop longue (10 minutes), ultra-répétitive, musicalement pas top... il y à eu pire chez Maiden (même si, jusqu'à maintenant, c'est leur dernière mauvaise chanson), mais c'est vraiment pas glorieux ! 5 minutes de moins et elle aurait pu être très bonne, cette chanson. En même temps, la durée n'en fait pas vraiment... [Lire la suite]

No Prayer For The Dying (1990) est un des moins bons disques du groupe, une redescente décevante dans le heavy le plus basique après des réussites indéniables dans le domaine du metal progressif (deux précédents opus). L'album contient quelques titres pas top, mais le pire, et le seul que j'inclus dans ce petit cycle quasiment achevé (encore une chanson et c'est tout), c'est indéniablement The Assassin, chanson insupportable de médiocrité, que je n'ai jamais pu pifer.

Il y avait bien longtemps que l'on n'avait plus parlé de Sparklehorse sur ce blog. Alors profitons-en pour écouter ce superbe Sick of Goodbyes. Eelsoliver

La puissance de feu des Them Crooked Vultures avec ce Dead End Friends magistral, issu de leur (à ce jour) seul album studio, éponyme, de 2009. Vivement un deuxième album !

Chanson de 1976, mais qui sortira dans le monde entier en 1981 (l'album sur lequel elle se trouve, Dirty Deeds Done Dirt Cheap, ne sortira qu'en 1981 dans le monde, allez savoir pourquoi, mais date de 1976), voici le grand moment d'éclat bluesy de Bon Scott chez AC/DC : Ride On, merveille que l'on retrouvera dans la musique de Maximum Overdrive de Stephen King.

Remarquable album que ce Somewhere In Time, d'Iron Maiden (1986). Mais Déjà-Vu, elle, est clairement une chanson très moyenne, malgré un refrain assez efficace. Pas à chier, mais la moins bonne de l'album, c'est évident !