15 avril 2010

Voici Bobby Brown Goes Down, de Frank Zappa, issu de Sheik Yerbouti (1979). Chanson hilarante et on ne peut plus caustique et, surtout, sexuelle (paroles bien subversives et trash) !

Avant-dernière (et onzième) de Disintegration, voici Homesick, de The Cure.

Chicago VIII, sorti en 1975, est le début de la fin pour Chicago. Avec sa pochette noire et rouge montrant une colombe de la paix, l'albumn enregistré dans un ranch du Colorado (à Nederland) et d'une durée de 39 minutes pour 10 titres, montre une vraie baisse de qualité, de créativité, pour le groupe de Robert Lamm, Terry Kath et Peter Cetera (pour ne citer que ces trois-là sur les sept, toujours au complet sans aucun changement de line-up, et toujours produits par James William Guercio). L'album se positionnera 1er au Billboard... [Lire la suite]

Et encore de la bonne, avec cette fois-ci, un chagrin d'amour ! Eelsoliver

Ce petit message juste pour dire que je pense de plus en plus sérieusement à en terminer avec ce blog (pas l'effacer, mais cesser de l'alimenter en articles). Non pas parce que je n'ai plus d'idées d'articles, mais parce que le faible taux de visites et de commentaires me fait comprendre qu'apparemment les articles ne sont quasiment pas lus, pas commentés, et je peux vous assurer qu'écrire des articles en sachant que quasiment personne ne les lira n'est franchement pas motivant, pas gratifiant. Je sais, ce n'est qu'un blog, mais c'est... [Lire la suite]

En 1975, Frank Zappa retrouve son vieux copain Don Van Vliet, nettement plus connu sous le pseudonyme Captain Beefheart (artiste free-jazz totalement déglingué que Zappa a produit : Trout Mask Replica, double album dingue de 1969) et ensemble, les deux compères, amis/ennemis, enregistrent Bongo Fury, en fait un album à la fois live et studio. Un disque qui, sans faire partie des albums mineurs de Zappa, n'est quand même pas du niveau de lam ajorité de ses productions studio. L'album, dans la discographie zappaïenne, se situe entre... [Lire la suite]